Pack Blouse chimie et lunette de protection
Blouse blanche chimie coton et polycoton
Laissez-nous un message
Blouse blanche chimie coton et polycoton
Blouse lycée rentrée des classes
Blouse blanche chimie coton et polycoton
Blouse médicale femme
Blouse lycée rentrée des classes
Large collection aux meilleurs prix de Blouses Blanches pour professionnels et particulier. De la blouse de chimie à la blouse de travaux pratiques. Prix Bas Direct Fabriquant - Frais de port et Broderie Offerte.
La blouse blanche de travail est généralement le vêtement de travail par excellence dans l'univers du médical et de l'hôpital. Label Blouse est spécialisé depuis 1991 dans la fabrication et la distribution de ces blouses et tenues médicales.
Vous trouverez des modèles de blouses blanches et tuniques médicales pour de nombreuses professions comme les blouses infirmières, les blouses chimie, les aides-soignantes, les dentistes, etc... Nous vous proposons une large gamme de blouse blanche pour femme et de blouse blanche pour homme. Ces blouses sont soit 100% coton soit en poly-coton.
La blouse de travail était très utilisée dans les usines et les ateliers pendant la révolution industrielle au XIXème siècle. Elle était autant portée par les ouvriers chargés de créer des produits que par leurs supérieurs chargés de surveiller la bonne marche des travaux. Pour définir les rôles, les ouvriers ont commencé à porter des blouses de couleur bleues et les chefs des blouses de couleur blanches. C’est de là que vient d’ailleurs l’expression « bleu de travail » qui définit la tenue professionnelle des ouvriers. Les chefs portaient des blouses blanches car ils étaient moins salis que les ouvriers. Aujourd’hui la distinction entre blouses n’existe plus mais l’expression « bleu de travail » nous rappelle la différence historique entre les deux habits de travail.
La blouse blanche revêt d’une symbolique de connaissance scientifique pour une grande majorité de personnes. Cet équipement de travail est utilisé dans des domaines scientifiques comme le travail en laboratoire, la chimie ou le médical. Cela permet d’ancrer les professionnels qui les portent comme des experts scientifiques aux yeux de la population. C’est ainsi que des acteurs publicitaires peuvent avoir plus de crédibilité car ils présentent leurs produits en blouse blanche, gage de connaissance et d’expertise scientifique.
Il existe deux types de blouses blanches pour les professionnels : La blouse avec des manches longues et celle avec des manches courtes. Chacune sont utilisées dans des cas précis
On porte une blouse blanche à manches longues dans les professions où l’on manipule des éléments dangereux. On la retrouvera naturellement en chimie ou encore en laboratoire où les professionnels utilisent des produits corrosifs qui peuvent brûler les parties visibles du corps sans protection. On trouve également des blouses à manches longues dans le domaine médical pour les médecins ou les infirmières. En effet, les blouses blanches à manche longues permettent aux professionnels de ne pas être en contact avec des infections et de pouvoir réaliser des opérations médicales en toute sécurité.
Cependant, la blouse blanche à manche courte n’est pas de reste. Elle est aussi utilisée pour se laver et se désinfecter les mains. Les blouses blanches à manches courtes évitent d’avoir à se retrousser les manches à chaque fois.
En résumé, les blouses blanches à manches longues sont utilisées pour avoir davantage de protection comme en chimie ou en laboratoire on parlera alors de blouse de chimie ou de blouse de laboratoire. A contrario, on optera plus pour des blouses blanches à manches courtes aussi pour avoir plus de facilité pour se laver les mains.
On se demande pourquoi les boutons sur les blouses blanches sont inversés selon le sexe. En effet, les blouses des hommes se boutonnent de la droite vers la gauche et les blouses des femmes de la gauche vers la droite. Est-ce une manière de différencier les blouses des hommes et des femmes dans le milieu professionnel ? Certainement mais l’explication pourrait être plus ancienne.
Les blouses et habits à boutons remonteraient au XVIIème siècle lorsque la mode de l’époque voulait d’être boutonné avec des boutons précieux pour montrer sa puissance. La majorité de la population étant droitière et les hommes s’habillant eux-mêmes, les habits ont été conçus avec des boutons à droite. Cependant, les femmes bourgeoises ayant des servantes pour les habiller, leurs habits ont été conçu pour qu’ils puissent être fermés par d’autres personnes et donc avec des boutons à leur gauche. Si aujourd’hui il n’y a plus de personnes pour assister à l’habillage des blouses, force est de constater que la tradition s’est perpétuée jusque dans les blouses blanches professionnelles.
Il existe des blouses blanches à bouton ou avec des pressions. Si les deux sont utilisées en chimie, laboratoire ou en milieu de la santé, celle qui offre le plus de sécurité est la blouse blanche à pression. En effet, la blouse à pression s’arrache beaucoup plus facilement si elle est attaquée par des liquides corrosifs ou par le feu. Les pressions s’enlèvent d’elles-mêmes plus facilement. Cela demande beaucoup moins de temps qu’enlever les boutons de la blouse un par un. Une blouse blanche à pression est donc recommandée pour travailler dans des milieux à risques.
L’impression de se sentir mal à l’aise lorsqu’on se rend chez son médecin ou à l’hôpital ou de se sentir stressé lorsqu’on se fait ausculter sont appelées « effet blouse blanche » ou syndrome de la blouse blanche. L’une des réactions les plus notables est la prise de tension artérielle ou du rythme cardiaque qui peut augmenter artificiellement non pas à cause d’une pathologie mais du stress de se retrouver face à un professionnel de la santé dans un univers médical. Sans être hypocondriaque, il est normal de ressentir de l’appréhension dans un univers non familier ou face à un professionnel de santé en blouse blanche. Pour éviter cet « effet blouse blanche » il est recommandé aux patients de prendre leur pression eux-mêmes de manière régulière pour éviter de se tromper de diagnostic lors d’une visite chez le médecin.